Appart' d'Hibari et de Zero

20h30. Je raccrochai enfin le téléphone. Je soupirai, cette fille là ne m'avait pas lachée, il avait fallut que j'inventai une excuse bidon pour ne pas sortir se soir. Je n'avais pas envie de faire la fête, ça serait d'ailleurs l'une des seules fois de l'année où je ne sortirais pas mais j'avais envie de passer la soirée avec mon frère qui ne parlait qu'à moi. Les années précédentes, nous étions dans la même classe et nous nous voyions tous les jours. Je n'avais pas eu cette chance aujourd'hui et je ne l'aurai plus jamais car malgrès le fait que nous soyons frère, il y avait tout un monde entre lui et moi ce qui ne nous empêchait pas de nous aimer mais nous empêchera d'être toujours ensemble comme lorque nous jouions dans le bac à sable de la maternelle. J'entendis un bruit venu du fin fond du monde. Je regardais mon téléphone : il ne sonnait pas. Le bruit retenti de plus belle, mon ventre gargouillait. Décidemment j'étais long à la détente aujourd'hui. Certainement parce que j'étais peu habitué à ce nouveau mode de vie qui signifiait liberté. Mais l'heure n'était pas à la philosophie : J'avais faim !!

- Hibari ??? J'ai le ventre qui gargouille.

Il me dévisagea l'air de dire qu'il avait entendu. Je repris :

- J'ai faim. J'vais mourrir ...

Toujours pas de réponse.

- Y'a quoi dans le frigo ?

Cette fois ci il me répondit avec un air malicieux qui ne présageait rien de bon :

- Y'a pas de frigo frangin !

Je le dévisageai. Pas de frigo ... Cette abominable nouvelle résonnait dans ma tête : Pas de frigo ...

- Ca veut dire rien à bouffer ? Pas de bières fraîches ? Pas de petits chocolats dont tu raffoles ?

Silence encore une fois. Nous venions d'enménager. Hibari ne voulant pas s'occuper de la déco et de l'ammeublement de l'apart ( Jmen fou ! ) j'avais du tout faire moi même après les cours en même temps que je répondais aux appels de mes premières fans de l'année. J'avais pris deux lits, deux armoires, d'autres petites choses pour décorer ma chambre, un canapé, une cuisinière, une télé avec un meuble, des dvd, un aquarium avec des poissons, j'avais même pensé aux buraux pour travailler. Mais le frigo la bouffe et les couverts ... c'était passé à côté. Mon ventre chanta de plus belle. Je suppliais mon frère du regard.

- Faut manger. On fait comment ?

20h30. Je m'amusais à écouter les discussions téléphoniques de mon frère avec toutes ces nouvelles groupies stupides et superficielles. J'étais heureux qu'il préfère rester avec moi, qui n'avait pourtant ni de poitrine ni de jolis cheveux blonds platines... Alors qu'il venait enfin de raccrocher, un son apocalyptique se fit entendre :

- Hibari ??? J'ai le ventre qui gargouille.

Je lui jetai un regard moqueur. Bientôt il allait me demander si il y avait quelque chose dans le frigo.

- J'ai faim. J'vais mourrir ...

Bientôt...

- Y'a quoi dans le frigo ?

Là !
Je le savais, je le connaissais par cœur. Le seul problème c'est que, lorsqu'il s'était occupé de la deco de l'appart, il avait tout prévu... sauf le frigo !

- Y'a pas de frigo frangin...

Cette déclaration sembla le laisser en état de choc. Il resta quelque seconde à ouvrir et fermer la bouche comme un poisson hors de l'eau avant de crier, affolé :

- Ça veut dire rien à bouffer ? Pas de bières fraîches ? Pas de petits chocolats dont tu raffoles ?

CHOCOLAT ! Ce mot résonna quelques instants à mes oreilles comme une douce musique. En cet instant j'aurais donné n'importe quoi pour un minuscule carreau. Si doux, si fondant, avec ce petit arrière goût amer... Ou encore, un éclatement de saveur pralinée, caramélisée...
Je ne pouvais pas tolérer plus longtemps une maison sans chocolat ! Je me levai brusquement, enfilai une veste et jetai la sienne sur mon frère :

- On y va ! JE VEUX MON CHOCOLAAAAAAAT !!

- ET MOI MA BIÈRE ! cria-t-il en courant vers la porte.

Nous partîmes au pas de course. Moi vers une chocolaterie, lui n'importe où. Mais un n'importe où impliquant de la bière...

BIERE! bière bière ! Seule cette chose occupait mes pensées désormais. Au mot " chocolat " mon frère avait réagit et nous avions tous les deux décidés de partir en ville chercher de quoi se restaurer. Après une dizaine de minutes dans le 100 yens shop, je ressortis avec un pac de bière et quelques petits trucs à manger pour se soir à l'exeption du dessert dont se chargait mon frère. Si il avait bien une chose pour laquelle nous formions un couple parfait, c'était bien la bouffe! Heureux comme des ... euh ...mhm .. comme deux abrutis complets nous chantonnions en portant chacun nos sacs.
Notre appartement n'était pas très loin de l'école de magie mais il était en revanche assez loin du centre commercial, la nuit était tombée depuis bien longtemps déjà lorsque nous arrivions au vieux quartier qui n'était qu'à 1000 mètres de chez nous, autrement dit 1 km. Ce quartier était réputé pour y faire de mauvaises rencontres mais ça on ne le savait pas encore. A vrai dire, si nous n'avions pas rencontré ces deux là qui se pointaient devant nous, je crois que nous serions restés dans l'ignorance absolue jusqu'à la fin de nos vieux jours. Un gros et un maigre s'approchèrent. Tous les deux étaient moches. Tous les deux étaient cons.

Avec à la main des sacs remplis de bière et de chocolats, nous chantions du Offspring en hurlant à tue tête comme deux gros débiles. La bière aidant j'esquissais même quelques pas de danse. Zero ne s'était pas du tout amélioré en chant, mais si je criai un peu par dessus, l'horrible son de sa voix me paraissait plus mélodieux.
La nuit était tombée depuis longtemps déjà, et nous arpentions une ruelle sombre, sans même songer au danger. Alors que nous arrivions à un croisement, deux hommes déboulèrent de nul part. Un gros, un maigre. Hideux.
Je jetai un regard à Zero et lui indiquait la droite d'un coup de tête. Message reçu.
Il avait comprit que ces deux là ne venaient certainement pas demander leur route... Sans plus attendre, il s'engouffra dans l'immeuble délabré à côté de nous, laissant s'écraser nos achats. J'entendais le son de sa course mourir peu à peu. Les deux hommes me fixaient, les mains posées sur leurs armes. Seul je ne tiendrais pas très longtemps. Il me fallait trouver une diversion :

- Qui êtes vous ? lâchais-je.

Ma voix ne trembla pas, je n'avais pas peur. Je savais très bien qui ils étaient : des ennemis de mon père. Même dans sa mort, il trouvait encore moyen de revenir nous hanter... Une raison de plus de le haïr. Sa seule évocation suffisait à me mettre en rage.
Je serrai les poings.
Le plus maigre des deux s'avança, peut être pour me répondre, peut être pour me tuer. Je ne le saurais jamais. Il s'effondra dans un bruit sourd : une balle en plein cœur...
Immédiatement après, un coup de feu retentit à l'intérieur du bâtiment. Des éclats de verre tombèrent en cascade jusqu'à nous, venant flotter sur la marre de sang qui recouvrait le bitume. Zero semblait avoir des problèmes à l'intérieur, mais je ne m'inquiétais pas pour lui, on avait déjà vu pire...

Je détaillais du regard mon adversaire. Grand et musclé, vêtu d'un costume noir classieux, tranchant avec son crâne chauve et ses cicatrices. Ses yeux, profondément enfoncés dans leurs orbites, semblaient presque morts. Aucune humanité ne ressortait du personnage. A force de tuer il avait du se tuer lui même... Encore une fois, l'espèce humaine se montrait à moi dans toute son horreur.
J'eus un frisson de dégoût. Pourtant je ne valais pas mieux que lui : j'allais le tuer.
Pendant les quelques secondes qu'avait duré mon observation, l'homme avait tiré un deuxième couteau de sa ceinture, et s'approchait maintenant, menaçant.
Je fis deux grands bonds en arrière et commençai immédiatement à esquisser un dessin. Mes mains volaient dans l'air en une danse harmonieuses et mes doigts virevoltaient de droite à gauche, traçant des traits de magie pure.
Deux pieds, deux jambes, un buste... et surtout, deux mains armées. Le gros musclé que j'avais mentalement surnommé Bulzor s'arrêta, stupéfait. Juste le temps pour moi de terminer : un crâne chauve, deux yeux enfoncés, un nez en patate et une bouche charnue.
Il se trouvait maintenant face à un clone de lui même, imparfait certes, mais ressemblant tout de même. Le temps ne me permettait pas de créer une œuvre emplie de détails. D'un claquement de doigt le dessin brillant et translucide prit forme vivante. Sans même m'en rendre compte, j'avais ajouté les couleurs. Simple réflexe.
Mon adversaire semblait reprendre ses esprits. Il était étonné, mais même pas effrayé.

- Attaque, ordonnais-je à ma création.

Immédiatement, elle s'élança vers Bulzor et lui asséna un grand coup de couteau. Qu'il sembla parer. Je n'en étais pas sûr, ils me tournaient le dos. J'entendais seulement le son du métal s'entrechoquant et les grognements de Bulzor. A ce rythme, mon dessin ne ferait pas long feu. Je n'y avais pas mis une quantité de magie suffisante et chaque coup le rapprochait inéluctablement de sa fin. Juste le temps pour moi de réaliser mon plan. Si il fonctionnait...

Je commençais à tracer des lignes au sol. Je n'avais jamais essayé de dessiner un gouffre, encore moins directement sur le sol. Mais il fallait bien un début à tout... Je soignais la perspective, afin de le créer le plus profond possible.
Alors que je finissais seulement de tracer les derniers détails, le géant émit un cri de victoire. Son clone disparut avec un bruit de bulle de savon qu'on éclate.
Je me redressais l'air de rien. Obnubilé par le combat, il n'avait même pas remarqué mon petit manège. Aussi s'élança-t-il vers moi sans aucune hésitation. Il était blessé à l'épaule et des giclées d'hémoglobine marquaient son passage. Au moment où il s'approchait de mes lignes je claquai des doigts et murmurai :

- Ouvre toi.

Sans aucun bruit, un énorme gouffre se forma, profond et noir, comme je l'avais imaginé.
Là où ils auraient du rencontrer le bitume, les pieds de Bulzor touchèrent le vide. Puis s'y enfoncèrent. A jamais. J'eus l'impression d'assister à une scène de dessin animé, lorsque le méchant se rend soudain compte qu'il va tomber et qu'il secoue les jambes inutilement. Son cri d'effroi s'éteignit peu à peu dans les profondeurs abyssales.
Son lugubre écho résonna encore longtemps à mes oreilles...
Je ne me posais même pas la question de ce qu'il adviendrait du cadavre lorsque mon dessin disparaitrait. Rejoindre mon frère était plus important. Toutes les fibres de mon corps désiraient être près de lui. Ne pas savoir s'il allait bien m'était totalement insupportable.

Le regard de mon frère croisa le mien. Message reçu, je me rendis aussitôt dans le vieil immeuble délabré qui se trouvait quelques mètres en arrière. Mon frère ferait diversion jusqu’à ce que je fusse prêt. Tout en courant, je sortais mon révolver de la poche de mon manteau. Je gardais toujours cette arme sur moi, car depuis la mort de notre père les agressions s’étaient multipliées. Je trouvai enfin une fenêtre qui me camouflerait tout en me laissant le loisir de tirer sur nos agresseurs. Je me calai sur le rebord de la vitre cassée, pour un humain ordinaire il aurait été impossible de toucher sa cible même avec de la chance mais heureusement pour moi, je n’étais pas un humain ordinaire, j’avais un pouvoir faible certes mais très utile dans ses circonstances. Je possédais comme un viseur incrusté dans mes yeux et quelques gadgets du style laser que je découvrais jours après jours. Je chargeai le revolver, mon esprit se transforma en ordinateur intelligent et calcula ma position, celle de mon adversaire ainsi que les mouvements qu’il allait faire et même le moment où je devrais poser mon doigt à un certain endroit de la gâchette : tout ça pour que ma trajectoire soit parfaite. Comme prévu je touchai ma cible, l’homme n’eût pas le temps de se rebeller, ni même de comprendre ce qu’il lui arrivait, il mourut avant de toucher le sol d’une balle dans le cœur. Je n’avais même pas essayé de l’avoir entre les deux yeux ou à la tête car avec les moyens du bord je l’aurai certainement loupé. La fenêtre déjà bien endommagée rendu l’âme, c’était l’échelle que j’avais grimpé avant de tirer qui l’avait tué juste avant qu’elle aussi mourut.

- Bah, t’inquiètes gamin. On ferra un enterrement collectif !

L’homme qui venait de m’interpeller se tenait à l’étage au dessous de celui sur lequel je me trouvais. Il avait sûrement dut essayer de me rejoindre mais l’échelle n’avait pas tenu le choc : besoin d’un régime non ? Pensais-je.

- Je me porte très bien sans gamin. C’est très bien de s’inquiéter de ma santé mais pense plutôt à la tienne. Que ferras-tu lorsque je t’aurais explosé la cervelle ?

Il était gros lui aussi. Il était très laid également. Et en plus il était aussi con que les autres. Seul son pouvoir de lire dans les pensées était quelque chose de bien, enfin pas pour moi mais pour lui si : il mettrai plus longtemps à mourir. Le seul moyen de fausser son esprit était donc de penser à autre chose qu’à ce que je voulais faire. Je devrais pouvoir y arriver, je faisait souvent ça avec les filles : je leur parlais de la pluie et du beau temps alors que je voulais juste qu’elles aillent faire un tour dans ma chambre. Je me concentrai donc sur … mon frère. Comme ça, ça ne paraîtra pas suspect. Je m’exécutai en silence, tout en chargeant mon revolver. Mon ravisseur se douta de la supercherie mais il était trop tard, je l’avais tué d’une balle entre les deux yeux. J’avais eu de la chance, celui-là n’était pas très malin et son don était très faible. Je fouillai le cadavre quand Hibari arrivait en sueur.

Les tropiques. Une chaleur épouventable.Le sable icieux vous brûle lorsque vous marchez dessus et vous colle dès que vous êtes mouillé, tout comme les jolies filles... (les moches aussi mais c'est moins interessant). C'est les vacances (ou pas j'en ai aucune idée à vai dire)et je savoure mon coctail "coucher de soelil" sur ma chaise longue, à l'abri du parasol, face à la mer. ( Non par pitié ne chantez pas!).La jolie rousse du volley s'avance vers moi. Bimbo number one de la playa elle se déhanche jusqu'à moi lorsque ça voit sensuelle parvient à mes oreilles :

Come one boy !

Bah quoi ? J'ai pas le droit de fréquenter une english pretty woman ? Ravis, le sourire jusqu'aux oreilles je la suis derrière le maquis. Nous nous regardons un instant puis elle ôta son haut de maillot de bain ainsi que sa mini-jupe. She kiss me and she m'envoya en pleine tronche un nuage vert pomme qui était censé rester dans son spray orange orange.

Puis, tout à coup je me retrouve à la fête forraine, le pompon à la main. Les passants me dévisagent, mais aucune fille ne me regarde :

OH! Qu'est ce qui vous prend ?

Personne ne réagit... Elles sont peut etre anglaises ...

Hey ! What's happening ? Oh shit ! It's rainning today and i have my maillot de bain ! Oh my god, it's horrible !!!

Non plus ... bon bah on va essayer autre chose ..

Ola ? ... Hallo ! Ich bin Zero ! ... Ohayo ! ... Et merde vous me faites chier ...

En même temps, il faut dire que je ne suis pas à mon avantage... Pourtant il parait que ça a un certain charme un mec qui se trouve dans le carosse de cendrillon... Enfin bon passons, la plaisenterie est terminée, je sors de ce foutu manège. Evidemment la rousse n'est pas là, si je retrouve cette salope je la butte! Ca ne se fait pas d'agresser les gens comme ça, puis c'est elle qui s'est déshabillée ... Et la mon sauveur arrive, this is Mikey ! (pourquoi jme mets à penser en anglais?)Tiens, lui aussi il me fait un bisous, c'est gen-tiiil !(ouais mais non j'suis pas gai bordel !)Et là bizarremnt, surment encore de la malchance Mikey m'envoie une décharge électrique à l'aide d'une boite violette en carton avec le petit garçon et la danseuse enroulés dans du papier cul lotus! Même que la danseuse et bah on voit sa culotte vert pomme sous son tutu orange orange et que c'est cette salope de rousse a la con !!!

Et là, jme réveille et ... PLUS DE BRAS !!! Je pousse un juron et supplie mon bras de revenir mais monsieur prend son thé et ne veut pas se bouger le coude alors c'est la chose qui prise de pitiée est touchée par mon cas et vient donc me rendre visite vaillemment. Puis, la porte grise en métal s'ouvre. J'essaie de me lever un peu pour voir qui vient (cette personne doit vraiment être petite) mais en vain puisque que je suis enchaîné à ce bout de plastique blanc et rectangulaire à l'horizontale !!!
L'inconnu s'approche. Oh c'est pluto ! Il est trop mignon!. L'image de la fête forraine me revint en mémoire ...

P'tit enculé, j'espère que t'es pas le complice de Mikey ?

Il me souris, ouvre la bouche, tire la langue et pour unique réponse, bouffe la chose ma seule amie.

Recrache Médor ! Recrache !

La porte s'ouvre à nouveau et Einstein rentre dans ma prison. Cette fois-ci il veut m'arracher l'oeuil et me transformer en Casimir. Très aimable, il me propose de choisir entre Casimir et Winnie l'ourson mais pas dupe, je lui répond :

Vadérétro Satanas !

Mon ventre fait un drôle de bruit... Je l'observe et vois UNE HORLOGE INCRUSTER DANS MES TABLETTES DE CHOCOLAT QUI FAIT TIC TAC ET ENLEVE TOUS MES TATOOAGES !!!!!






Tuuuuuuuut ! Tuuuuuut !
Il est 7h30.
C'est le 6/9 qui vient te réveiller... Allez allez ! Allez allez debout allez ! ...

(ouais, ancienne version mais elle est mieux !)

Je me réveillai en sursaut mais cette fois-ci c'était pour de vrai. Après avoir fait un incalculable nombre d'étirements je me dirigea en courant vers le miroire de la salle de bain. Tout était en place : OUF! Je modissais ce cauchemard plus que bizarre qui avait perturbé mon sommeil et histoire d'oublier toutes ces conneries et d'éviter de me transformer en Winnie l'ourson ou je ne sait qui encore je pris une grnde douche froide.
Une fois les idées claires, j'allais chercher mon frère dans sa chambre.